Il faut que je vous parle...
.....de ma lectrice la plus attentive!
Marie-Christine A m'écrit chaque jour pour me signaler mes fautes d'orthographe, de conjugaison ou de frappe. Et avec moi, mea culpa, elle a de quoi faire. J'ai quand même de la chance, non, d'habitude les correcteurs se font rémunérer pour cela, pas Marie-Christine A.
Le souci avec Marie-Christine A, c'est que lorsqu'elle m'écrit et me fait sa remarque, j'ai l'impression de revenir 30 ans en arrière et de me retrouver, yeux baissés et genoux serrés, devant mon institutrice de CE1, madame Martin. Parce que Marie-Christine A, c'est comme ça que je l'imagine, en institutrice retraitée en manque de petits doigts à frapper avec sa règle carrée en bois ( ouille, pas si fort, Marie Christine A, ça fait mal ). Je ne peux que l'imaginer, parce que Marie-Christine A, je ne la connais pas. Enfin, je ne crois pas. Elle ne signe jamais ses messages. Vous me direz, ben alors, comment tu sais qu'elle s'appelle Marie-Christine A ? Simplement parce qu'à mon avis, elle maîtrise moins bien sa messagerie que l'imparfait du subjonctif, et qu'elle ne sait pas qu'en répondant à mon mail ( je lui ai demandé si à son avis, zut prenait un t ou deux t mais je suis toujours dans le flou, elle ne m'a pas donné la réponse), son prénom et nom apparaissaient.
Aujourd'hui, Marie-Christine A m'a écrit pour me dire qu'elle me trouve vulgaire: elle a raison, en réponse à son mail de remontrances du jour, je lui ai demandé de me rafraîchir la mémoire: doit-on dire emmerdeuse, ou mieux emmerderesse. Marie-Christine, les gros mots elle n'aime pas, moi c'est l'anonymat que je n'aime pas, à chacune ses marottes.
Le problème avec Marie-Christine A, ce ne sont pas ses remarques toujours justifiées sans doute, mais je ne sais pas pourquoi, elle me donne le sentiment trés désagréable d'être épiée par le trou de la serrure alors que je batifole....
Aussi, je propose quelque chose à Marie-Christine A, tiens, je lui laisse ma place devant le clavier pour qu'elle sente combien ça peut nuire à la spontanéité de se dire que quelqu'un est là, quelque part, à guetter le moindre de vos faux-pas......
En plus Marie-Christine A, elle m'écrit pour me dire que mon langage ne cadre pas avec le fait d'avoir un mari qui apprend le maniement de sabre, elle est trés vieille France Marie-Christine A , mais je promets, je jure et je crache sur mon sol impec, je lui envoie le double de son ordre de mission....et puis je la rassure, avec le temps, Chéri s'est habitué à moi et je me tiens trés correctement dans les réceptions de l'ambassadeur où on sert des Ferrero.....
Mais il y a un truc que je pige pas, Marie-Christine A est totalement libre de ne pas aimer ce que j'écris dans ce blog, mais elle est un peu crampon: tous les jours je la désabonne de la newsletter, et tous les jours elle s'y réabonne....va comprendre !
Marie-Christine A m'écrit chaque jour pour me signaler mes fautes d'orthographe, de conjugaison ou de frappe. Et avec moi, mea culpa, elle a de quoi faire. J'ai quand même de la chance, non, d'habitude les correcteurs se font rémunérer pour cela, pas Marie-Christine A.
Le souci avec Marie-Christine A, c'est que lorsqu'elle m'écrit et me fait sa remarque, j'ai l'impression de revenir 30 ans en arrière et de me retrouver, yeux baissés et genoux serrés, devant mon institutrice de CE1, madame Martin. Parce que Marie-Christine A, c'est comme ça que je l'imagine, en institutrice retraitée en manque de petits doigts à frapper avec sa règle carrée en bois ( ouille, pas si fort, Marie Christine A, ça fait mal ). Je ne peux que l'imaginer, parce que Marie-Christine A, je ne la connais pas. Enfin, je ne crois pas. Elle ne signe jamais ses messages. Vous me direz, ben alors, comment tu sais qu'elle s'appelle Marie-Christine A ? Simplement parce qu'à mon avis, elle maîtrise moins bien sa messagerie que l'imparfait du subjonctif, et qu'elle ne sait pas qu'en répondant à mon mail ( je lui ai demandé si à son avis, zut prenait un t ou deux t mais je suis toujours dans le flou, elle ne m'a pas donné la réponse), son prénom et nom apparaissaient.
Aujourd'hui, Marie-Christine A m'a écrit pour me dire qu'elle me trouve vulgaire: elle a raison, en réponse à son mail de remontrances du jour, je lui ai demandé de me rafraîchir la mémoire: doit-on dire emmerdeuse, ou mieux emmerderesse. Marie-Christine, les gros mots elle n'aime pas, moi c'est l'anonymat que je n'aime pas, à chacune ses marottes.
Le problème avec Marie-Christine A, ce ne sont pas ses remarques toujours justifiées sans doute, mais je ne sais pas pourquoi, elle me donne le sentiment trés désagréable d'être épiée par le trou de la serrure alors que je batifole....
Aussi, je propose quelque chose à Marie-Christine A, tiens, je lui laisse ma place devant le clavier pour qu'elle sente combien ça peut nuire à la spontanéité de se dire que quelqu'un est là, quelque part, à guetter le moindre de vos faux-pas......
En plus Marie-Christine A, elle m'écrit pour me dire que mon langage ne cadre pas avec le fait d'avoir un mari qui apprend le maniement de sabre, elle est trés vieille France Marie-Christine A , mais je promets, je jure et je crache sur mon sol impec, je lui envoie le double de son ordre de mission....et puis je la rassure, avec le temps, Chéri s'est habitué à moi et je me tiens trés correctement dans les réceptions de l'ambassadeur où on sert des Ferrero.....
Mais il y a un truc que je pige pas, Marie-Christine A est totalement libre de ne pas aimer ce que j'écris dans ce blog, mais elle est un peu crampon: tous les jours je la désabonne de la newsletter, et tous les jours elle s'y réabonne....va comprendre !